Tout d'abord, l'utilisation du téléphone cellulaire nuit énormément au développement socio-culturel de nos jeunes. En effet, ceux-ci s'isolent de tous contacts humains. Ainsi, le virtuel devient l'un des aspects de leur vie les plus important. Peut-être que les réseaux sociaux aident nos jeunes à s'ouvrir à différentes cultures culture, mais ces phénomènes les empêchent de s'ouvrir aux réalités de leur milieu. C'est incomprenable de voir un jeune qui sait tous les noms de ses contacts par coeur, mais qui ne sait même pas qui dirige son propre pays. Vous ne trouvez pas ça grave qu'un groupe d'amis se parle seulement par texte même quand ils sont côte à côte? Je crois que la dépendance aux téléphones intelligents est rendue bien trop importante pour qu'ils soient acceptés dans le milieu scolaire. Pour tout dire, le téléphone celulaire va complètement à l'encontre des valeurs que prônent les établissements scolaires. C'est pourquoi je crois qu'il est possible d'accepter le cellulaire dans les écoles.

        Ensuite, le cellulaire occupe une grande place dans les temps libres de nos jeunes. De telle sorte, que ça diminue les résultats et les efforts scolaires des étudiants. Comme l'explique l'article «Le niveau scolaire baisse, cette fois-ci c'est vrai!» le taux d'élèves en difficulté à l'école à passé de 14.9% à 19% en 10 ans, entre 1997 et 2007. C'est loin d'être normal pour une société en évolution constante. C'est le divertissement qui joue un trop grand rôle dans la génération Y. Vous savez quoi? Les cellulaires sont l'une des plus grandes distraction chez ces jeunes gens, ils passent d'innombrables heures sur ces appareils. Donc, les adolescents commencent à délaisser leurs efforts pour réussir à l'école, pour passer plus de temps à leurs loisirs et leurs passes-temps. Tout ça pour la simple et bonne raison qu'ils veulent tout avoir instantanément, comme l'offre les téléphone mobile. En fait, le cellulaire est une trop grande distraction chez les jeunes pour l'accepter dans les écoles.

Le cellulaire est au coeur de certains enjeux de la société, tel que le cellulaire au volant et même le problème de nomophobie. De plus, chez les jeunes le cellulaire pose problème dans le contexte scolaire. Devrait-on accepter le cellulaire dans les écoles du Québec, même si c'est la principale source de déconcentration chez les étudiants? La réussite des jeunes et leurs efforts à l'école m'amène à dire que nous ne devrions pas accepter le cellulaire dans les écoles.